- Le salaire, c’est le super-brut, pas le net.
- La
différence entre le super-brut et le net, c’est notre développement. On
retrouve l’expression de ce développement (sécurité sociale, fonction
publique) dans notre PIB et dans nos prix.
- Le développement est le produit de choix politiques faits, après la guerre, contre la barbarie.
- Les salaires ne sont dès lors jamais un coût, mais un investissement dans le développement.
- La
lutte contre l’inflation et la lutte pour l’emploi et le pouvoir
d’achat où nous sommes entraînés depuis trente ans est un piège aux
salaires. Elle mine le développement et nous fait retourner à la
barbarie.
- Lutter contre la barbarie, c’est se battre pour des salaires et pas contre.
Nous luttons contre l'emploi sous toutes ses formes. Il dégrade la qualité de l'environnement, la vie de l'employé. Nous ne nous opposons pas à l'activité, à la passion, à la patience, à la volonté, au labeur.
OPI (Offre publique d'idée) sur les salaires
18 août 2013, 15:02On me dit de vous dire ...