Elle y développe les tensions entre désir de l'employé et désir de l'employeur et la souffrance générée par la dépossession du travail concret, la prolétarisation.
Les conditions du travail concret sont de plus en plus maîtrisées par l'employeur. La liberté, la faculté d'inventivité ou d'investissement personnel en sont amoindries. Cette productivité, cette maîtrise de l'acte productif affecte les processus de production les plus élaborés (via des protocoles), jusqu'aux cadres qui transmettent l'ordre patronal aux subordonnés.